En exergue à la relation de notre séjour dans le Queyras, ci dessus, le lac Miroir, près de Ceillac
A l'exemple du lac Miroir, j'ai tout aimé dans le Queyras, la couleur de l'eau, du ciel, les sentiers super bien balisés, les mélèzes, les maisons, le soleil, les villages ... A vous de juger !
dimanche 23 juillet
balade à l'alpage de Clapeyto
Rendez-vous 6h30 à St E / Copernic ce dimanche 23 juillet pour notre départ vers Brunissard, 11 participants dans 3 voitures. Arrêt à la Grave pour le petit déjeuner et surprise, un peu plus loin, nous retrouvons, tout à fait par hasard, le camion de Laurent et Sylviane qui eux sont partis de La Louvesc.
Nous voilà arrivés vers midi aux Bons Enfants, notre gîte. Madame Philip, héritière de la ferme familiale, nous propose de nous donner toutes les chambres du premier étage plus la salle de détente, ce qui nous agrée parfaitement. Nous avons aussi la possibilité d'utiliser la cuisine du gîte, commune à tous les randonneurs. Installation donc puis picnic dans le pré devant le gîte et hop !... départ pour...
Clapeyto. Clapeyto est un petit village de chalets d'estive à 1h30 de Brunissard et ce jour c'est la fête de l'alpage. Nous arriverons après la bataille, la messe a été dite le matin, le picnic terminé, les participants dispersés. Peu importe, nous découvrons le paysage de l'alpage, les chalets, la montagne qui se dresse juste derrière, très abrupte. Comme le ciel semble menaçant, un groupe décide de rentrer au gîte, l'autre choisit de poursuivre en direction du col de Néal. En chemin, sur une zone humide, des linaigrettes. Arrivés au lac, un vent méchant nous attend, nous rebroussons chemin.
Nous n'aurons pas le temps de prendre l'apéro, la concertation ce sera pour ce soir avec la tisane ! Il est 19h15, il faut passer à table. Dans la salle à manger, 2 longues tables, une pour notre groupe (nous sommes 14 ), la seconde pour les autres randonneurs dont souvent, de nombreux étrangers.
Il a été convenu qu'après le repas nous discuterions du programme du séjour. Nous nous réunissons à la cuisine et je présente mon projet, randos mâtinées d'un soupçon de tourisme. J'insiste sur le fait que libre choix est laissé à chacun de participer ou pas, de choisir d'autres balades, etc.... Nous nous mettons d'accord pour la destination du lendemain , ce sera "les chalets et les granges de Furfande", une rando facile qui, je pense, ne mettra personne en difficulté : c'est notre première rando à la journée, ménageons nos troupes !
- lundi 24 juillet -
les chalets et les granges de Furfande
Tout d'abord, présentation de l'équipe. il y a de St E, Colette, Françoise, Bernadette, mon voisin Michel, Karima, Martine, de St Genest Ginette, du Chambon Eliane, de Montbrison Joëlle, de l'Ardèche Laurent et Sylviane, de Haute Loire Danièle, de Saône et Loire Annette qui arrivera deux jours plus tard.
Pour toutes les randos que nous entreprendrons, je ferai une approche voiture. Ce jour, nous laissons nos voitures au Queyron (1982 m), commune d'Arvieux. Et nous voilà partis sur un joli sentier en balcon jusqu'au col de la Lauze. Une heure plus tard, nous apercevons les premiers chalets.
Ce site de Furfande a été classé aux monuments et sites pittoresques des Hautes-Alpes. C' est un grand point de passage des plus grands chemins de randonnées, GR58, GR541, Vial Alpina. Situé sur la commune d'Arvieux, il comprend deux alpages situés l'un au dessus de l'autre : les Chalets de Furfande, 2027m d'altitude, les Granges de Furfande 2285 m d'altitude.
Un peu d'histoire sur les alpages de Furfande
Ces alpages de Furfande regroupent près de 80 chalets et granges d'estive, maintenues par leurs propriétaires avec passion, certaines étant confortablement aménagées.
Avant 1968, les familles d'Arvieux avaient pour habitude de monter fin juillet pour faire les foins, puis d'y amener les bêtes à partir de la mi-Août pour les laisser jusqu'aux premiers froids début octobre.
Une messe était célébrée début septembre, qui deviendra la fête des Alpages et sera avancée au premier dimanche après le 15 Août.Depuis, des troupeaux bovins sont encore montés encore pendant l'été, afin de profiter des prairies exceptionnelles.
Notre itinéraire nous permet de passer au plus près des chalets, puis le sentier remonte jusqu'au site des Granges de Furfande où paissent des troupeaux. C'est aussi le moment pour nous de piqueniquer et nous nous installons frileusement à l'abri d'une grange, il souffle un petit vent malin. Puis nous amorçons le chemin du retour qui passe par le refuge de Furfande. Et là impossible de résister au plaisir d'une tarte ! Il fait quelques gouttes, nous nous attardons. Finalement, ce ne sera qu'une petite ondée insignifiante. Nous rejoignons le col de la Lauze puis c'est le même sentier en balcon qu'à l'aller pour retrouver nos voitures. Nous découvrons un petit mot sur le pare-brise de la Logan ... C'est la groupe Sylviane, Joëlle, Laurent, Danièle, Karima qui est passé par là, mais eux sont partis à pied d'Arvieux, sur un itinéraire différent à l'aller, plus long et moins débonnaire que le nôtre.
De retour à Arvieux, nous allons faire un tour à l'exposition de plantes des Alpes avant de regagner le gîte.
Ce soir nous avons le temps de prendre l'apéro mais sans nous éterniser car il est déjà 19h15 et ce sera le même scénario tous les soirs : arrivée au gîte aux environs de 19h, apéro en vitesse, puis repas avec un quart d'heure de retard, 19h30 mais je soupçonne Madame Philip d'avoir tenu compte du retard inévitable de ses pensionnaires pour déterminer l'heure du repas du soir. Journées donc bien remplies !!!
- mardi 25 juillet -
la Gardiole de l'Alp et le village de St Véran
Ce mardi, l'effectif est au complet : nous partons pour la Gardiole de l'Alp, départ de Pierre-Grosse, près Molines. D'après ce que j'en avais lu, il me paraissait impensable de zapper cette rando car, en plein coeur du massif, la Gardiole offre une vue à 360° sur l’ensemble du Queyras et effectivement, j'ai adoré cette rando, itinéraire exclusivement en crête. Tous ne partagerons pas mon enthousiasme...
C’est en arrivant à son sommet que l’on comprend vraiment son nom. Effectivement le point de vue permet au berger de surveiller l’ensemble des pâtures de la Gardiole, mais il offre aussi une vue imprenable sur le bas et le haut Guil, le massif des Ecrins, le haut de la vallée de Saint Véran, le vallon de Peynin… (dixit le site de promotion du Queyras)
Montée tranquille à partir du hameau du Coin, 1970 m, nous passons à la bergerie du Clôt du Loup, puis par une enfilade de beaux lacets, nous arrivons au col du Pas du Loup (ou Pas du Chai). A partir de là, nous remontons la croupe herbeuse sur la Crête de Batailler, le sentier se redresse, devient plus aérien, court de bosse en bosse. On pense être arrivé, pas du tout ! Puis voilà que se présente un sursaut rocheux à franchir, l'herbe a fait place aux pierres, le schiste s'éboule et se délite sous le pied, pas de marques pour savoir où passer. Il faut progresser avec précaution. Une fois l'obstacle passé, le terrain devient plus stable et le parcours ne présente plus aucune difficulté.
Entre temps, certains parmi nous ont fait demi-tour, à l'instar d'Eliane, très mal à l'aise lorsqu'elle sent le vide de chaque côté. Je la raccompagne jusqu'au col. Avant de remonter, j'enfile les gants , le vent souffle très très fort... Bientôt j'aperçois Bernadette qui a eu la gentillesse de m'attendre . Nous retrouvons plus loin Laurent, Sylviane, Karima Joëlle et Danièle qui patientent, tentant en vain de se protéger du vent .
Nous ne resterons pas longtemps au sommet. Nous décidons de pique niquer plus bas et nous entamons de suite la descente . Elle est longue cette descente, 951 mètres, et rien pour se mettre à l'abri du vent ! Nous nous arrêtons finalement dans un creux du terrain. Et la descente reprend ! Nous voilà finalement à Pierre Grosse notre point de départ où nous rejoignons ceux qui ne sont pas montés au sommet. Et là, drame ! Sylviane a perdu sa belle veste blanche ! Derechef elle rebrousse chemin avec Laurent. Ils réapparaîtront une heure plus tard, ayant bien couru, bien cherché et rien trouvé ! Mais une bonne fée est passée par là, sous la forme d'un groupe de randonneurs, qui ont récupéré la veste sur le sentier et nous l'ont remise, cinq minutes après que Laurent et Sylviane aient fait demi tout !
Ensuite place au tourisme. Nous partons pour Saint Véran, étape incontournable du Queyras. De belles vieilles maisons avec leur balcon de bois, de poétiques cadrans solaires, et aussi beaucoupe de boutiques. Au gîte, Annette arrivée dans l'après midi ,nous attend.
- mercredi 26 juillet -
lac Miroir et fête de l'alpage au lac Ste Anne
le village de Ceillac
Ce mercredi c'est la fête de l'alpage à Ceillac (comme c'était celle d'Arvieux le dimanche 23). Aussi c'est notre destination ce jour, d'autant que le lac Saint Anne et le lac Miroir sont des sites eux aussi, incontournables du massif. Deux groupes pour cette journée : Sylviane, Danièle, Laurent et Joëlle choisissent de partir du village de Ceillac, je décide de faire une navette voiture et de commencer la rando au parking du Pied du Mélézet.
Un parcours facile en forêt nous amène d'abord au lac Miroir aux reflets surprenants.
Picnic un peu plus loin puis nous poursuivons jusqu'aux pistes de ski et c'est bientôt le lac Saint Anne, un très beau lac glaciaire, bien rond. Il y a encore beaucoup de monde, bien que cette fois encore nous arrivions après la messe et le pic nic.
Mais pourquoi célèbre-t-on Ste Anne à Ceillac ?
La première indication de pèlerinage date du 9 juillet 1699 :« Sommes allés en procession au lac de la Doux [ancien nom du lac Ste-Anne] à cause de la sécheresse et avons apporté du pain blanc avec du vin de M. Chabrand ». En 1751, il est fait mention pour la première fois de la fête de Sainte-Anne. Le lac et la chapelle sont connus sous le vocable de La Doux (mot d’origine gallo-romaine qui désigne une source). Sainte-Anne est implorée pour conjurer la pluie, la sécheresse et autres calamités agricoles, et surtout remercier Ste Anne d'avoir sauvé les des enfants coincés sur un radeau de fortune au milieu du lac.
C'est donc aujourd'hui une procession séculaire qui rassemble les communes de Ceillac et de Maljasset.Deux groupes de pélerins se rejoignent, après une petite rando : ceux du Queyras (habitants des vallées du Cristillan et Melèzet) rejoingnent directement la chapelle située à 2415 m d'altitude , ceux de l'Ubaye (habitants de la vallée de Maurin) qui doivent d'abord passer le Col Girardin, situé à 2699 mètres d'altitude. Au programme : départ de la procession à 8h30 de Choriondre, messe à 11h à la Chapelle du lac, puis pic nic tiré du sac.
Bernadette et moi avons très envie de monter au col Girardin par lequel sont arrivés les pèlerins de Maljasset ce matin. Il est donné pour 50 minutes aller/retour et 300 m, tout à fait possible donc. En bas du col nous rencontrons Laurent, Sylviane, Danièle et Joëlle qui en descendent. A nous d'y monter. Attention à la descente ! Encore du schiste et quelques virages demandent un pied avisé. De retour au lac, nous redescendons vers Choriondre où nous avons laissé une voiture ce matin. Je n'ai pas du tout aimé cette descente ! Nous retrouvons au parking Colette, Annette, Eliane, Françoise, Ginette puis Karima et Martine.
Ensuite c'est courses et tourisme à Ceillac. Nous flânons autour de l'église et à 18 heures, nous avons la surprise de voir et d'entendre sonner les cloche de l'église... à la main. Emile, le sonneur de cloches, les active manuellement. En même temps la procession en l'honneur de Sainte Anne pénètre dans l'édifice. Nous ne resterons pas assez longtemps pour profiter de l'apéritif offert par la commune.
- jeudi 27 juillet -
les lacs Egorgéou et Foréant, le village d'Abriès
Pour notre dernière rando, nous partons pour 2 autres lacs de montagne, les lacs Egorgéou et Foréant. Mon intention première était de faire une traversée : les lacs, puis col Vieux, puis col Agnel à la frontière italienne pour terminer en beauté par un 3000 accessible, le Pain de Sucre (3208 m). On a cette chance dans le massif du Queyras, de pouvoir flirter assez vite avec les 3000, du fait que l'altitude de départ est déjà élevée, ce qui n'est pas si évident dans d'autres massifs. D'ailleurs toutes les randos des jours précédents se prolongeaient par la montée à un sommet proche des 3000, 2744 m pour le Pic du Gazon à Furfande, 2875 m pour la Tête de Girardin au lac Sainte Anne. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il y a presque toujours une approche voiture en montagne : pour utiliser au mieux son temps de marche, pour aller à l'essentiel, atteindre le sommet.
Quoiqu'il en soit, mon projet ne trouva pas d'écho, je ne l'ai sans doute pas assez expliqué, il fallait une navette voiture + une grosse, grosse motivation, j'ai donc laissé tomber. Dommage C'était une belle occasion qui se présente rarement.
Nous avons donc fait un aller/retour aux lacs, journée agréable sur un beau sentier très fréquenté, le GR 58. Eliane, Michel, Annette, Colette, Bernadette, Ginette, Françoise s'arrêtent au premier lac, le lac Egorgéou, Karima, Martine et moi poussons jusqu'à Foréant, 2618 m, où je pique un petit somme qui me donne des couleurs. Au retour, le Mont Viso, 3841 m, apparaît à l'horizon :
7 heures de marche à partir d'Abriès pour accéder au refuge, puis 5 heures pour monter au sommet.
Notre rando terminée, petit épisode tourisme habituel de fin de journée. Nous nous arrêtons à Abriès, qui abrite le festival Musi'Queyras. Nous applaudissons la déambulation du groupe de percussions brésiliennes Tousamba Batucada de Gap. Retour à Brunissard où nous attendent Danèle, Joëlle, Sylviane et Laurent qui eux sont partis à pied du gîte pour monter au col de l'Izoard et à partir de là, aller au lac Souliers.
Pas d'apéro ce soir, il est trop tard. Nous passons direct à table et en fin de repas, Madame Philip nous offre le génépi d'adieux ...ou la tisane. Préférence générale pour le génépi.
- vendredi 28 juillet -
retour et petit tour à Briançon
Fini le Queyras, retour à la maison. Nous faisons un départ dispersé, Laurent Sylviane et mes passagers, nous partons de suite après le petit déjeuner. Michel et Françoise attendent jusqu'à 10 heures que le col de l'Izoard soit ré-ouvert (fermé pour cause de course cycliste). Nous faisons un petit tour à Briançon puis nous reprenons la route. Tout va bien jusqu'à ce qu'un accident perturbe sévèrement la circulation et c'est la galère durant la fin du trajet.
J'ai vraiment apprécié ces quelques jours passés dans le Queyras, belles randos, belle entente, belle météo... Vivement le prochain mois de juillet pour repartir en montagne!
Pourquoi avoir choisi le Queyras ?
Pour les deux avantages qui le caractérisent :
- la douceur d'un paysage de montagnes pastorales à une altitude pourtant élevée,
- un ensoleillement exceptionnel.
Un peu de géographie
Le Queyras appartient à la chaîne des Alpes du Sud proche de l'Italie.
Il se trouve dans le département des Hautes Alpes, 05.
Un Parc Naturel Régional y a été créé en 1977, c'est le plus haut parc d'Europe.
Quatre vallées se partagent le massif : le Haut Guil, le Mézèlet/Cristillan, les Aigues et le Val d'Azur.
le Val d'Azur
Nous séjournerons dans le Val d'Azur qui doit son appellation à un ciel presque toujours très bleu, allié à à un climat privilégié.
De ce fait une activité agricole importante s'y est toujours développée dont témoignent les vastes fermes à arcades caractéristiques de ce vallon.
Le Val d'Azur est aussi la vallée d'Arvieux , ce qui m' amène à présenter les villages/stations qui sont au nombre de 8.
- Arvieux donc, sous le col de l'Izoard
- Abriès, Ristolas ,Aiguilles dans la vallée du Guil à proximité du Mont Viso
- Ceillac, vallées du Mézèlet et du Cristillan,
- Molines-en-Queyras, et Saint-Véran vallées des Aigues et proche du col Agnel
- Château-Ville-Vieille, à la croisée des vallées
Arvieux compte 13 hameaux qui s'étagent de 1543 m à 1760 m dont les Moulins, les Escoyères, le bourg (d'Arvieux), le Pasquier, le Coin, les Maisons, la Chalp et enfin Brunissard.
Brunissard est le dernier village avant le col de l'Izoard . C'est là que nous serons hébergés, à 1760 m d'altitude, dans une ancienne ferme rénovée en gîte d'étape "les Bons Enfants" .
Le patrimoine culturel, historique et religieux du Parc naturel régional du Queyras est très important.
A Brunissard nous découvrirons de nombreux cadrans solaires, les fermes à arcades, les croix de la passion et la Tour du Procureur. Symbole de la tradition communautaire. Ce campanile, appelé La Tour du Procureur, servait à convoquer les habitants à la corvée ou "ruido" ou à donner l'alarme en cas d'incendie.
La solidarité au sein des communautés Queyrassines a toujours été importante et citée en exemple durant des décennies et c'est peut-être à ARVIEUX que l'on trouve le meilleur exemple de cette solidarité par la simple présence de ce petit clocheton perché au sommet d'une tour de rondins de mélèze, symbole de la "Ruido", corvée. C'est autour de ce petit campanile qu'étaient prises après l'appel de la cloche, toutes les décisions importantes liées à la communauté comme la date des moissons en alpages, le jour de la cuisson du pain, l'aide aux personnes nécessiteuses, les aides pour la construction, la gestion et l'entretien des biens communaux, la répartition des tâches etc.. Une véritable entraide sociale et démocratique que cette "Ruido". Ce campanile fut érigé entre l'église et le temple, pour ne pas privilégier l'une ou l'autre des communautés religieuses. Ce phénomène né au Moyen-Age dans le Queyras (1260) disparaîtra progressivement pour renaître provisoirement lors des inondations de 1957.
- Infos pratiques -
- départ en covoiturage dimanche 23 juillet
333 km/5h10 par Grenoble, Gap, Guillestre
- lundi - mardi - mercredi - jeudi 24, 25, 26, 27 juillet
Le choix des randos est vaste. Chaque soir nous déciderons ensemble du programme du lendemain rando/tourisme. On gagne vers vite en altitude puisque nous sommes déjà à 1500/1700 m. Libre choix est toutefois laissé à chacun d'organiser sa journée comme bon lui semble dans la mesure où cela ne gêne pas les autres.
- retour le vendredi 28 juillet, horaire à décider sur place
- nombre de places : 10 (4 restantes)
- coût du séjour : 210€ comprenant 5 nuitées (hébergement en chambres à lits multiples), 5 repas du soir, 5 petits déjeuners, boissons non incluses
- inscription par envoi du chèque à l'ordre de
chemins d'aventure" 49 rue Montesquieu 42100 Saint Etienne
Le chèque sera retiré début juillet.
- covoiturage évalué à 40€/personne selon Michelin pour une voiture de 4
- Quelques suggestions de sorties -
-le très vieux village des Escoyères 4h
-vers le pic de Caramantran 5h - + 700m et visite de Saint Véran
-la Gardiole de l'Alpe 6h - + 900 m
-Furfande vers le pic du Gazon 6h - + 700 m
-le lac de Roue 4h - + 500 m et visite de Chateau-Queyras
- les chalets de Clapeyto
Projet et infos d'avant départ